lundi 21 novembre 2011

désespoir...

(et encore... si la maison était un lieu "sûr", ce qu'elle n'est pas pour nombre d'enfants, de filles et de femmes...)

>> un billet d’Isabelle Alonsolire ICI... ) suite à l’agression sexuelle et au meurtre de la petite Océane (9 ans). Depuis, le corps de la jeune Agnès (13 ans) a été retrouvé carbonisé, elle a été violée puis assassinée. Et combien d’autres avant elles, combien encore après ? Combien de violences dont on ne dit pas le nom: «SEXISTES» ! qui ne font pas la «Une» mais qui blessent et tuent spécifiquement des filles ou des femmes, parce qu’elles sont des filles ou des femmes, ici ou ailleurs.

Elle demande : "Combien de temps faudra-t-il, après l’assassinat d’une personne de sexe féminin par une personne de sexe masculin, pour intégrer dans le champ de la réflexion qu’il se peut que nous ayons affaire à un mécanisme ?"

Son billet évoque aussi «Jean-Michel Bouvier, le père de Cassandre, assassinée cet été en Argentine avec son amie Houria. Il avait élevé sa fille en femme libre, et il a compris, lui, de la plus atroce des manières, que c’est aussi de sa liberté que sa fille a été punie (...)

Jean-Michel Bouvier se bat désormais pour que le féminicide, c’est à dire l’action de «maltraiter, violer et tuer une femme» parce qu’elle est une femme, soit reconnu dans le droit pénal français. Il a écrit dans ce sens au Président de la République et au garde des Sceaux. Sans réponse à ce jour.» intégralité à lire ICI...

>> J
e lis sur internet que le Pérou vient d’instaurer ce crime de «féminicide» (ICI...).